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Bovins de boucherie La détente tarifaire se précise pour les laitières

Les vacances scolaires de février viennent peser sur les ventes dans le secteur de l’aval. Pour autant, le recul plus sensible de l’offre de réformes laitières conduit à une activité commerciale un peu plus régulière. Dans les animaux de races à viande de qualité, le commerce se montre très calme devant le repli des ventes dans la boucherie traditionnelle.

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Les tarifs des vaches laitières de réforme du début de la semaine n’ont pas beaucoup évolué, mais certaines structures annoncent quelques hausses pour la semaine prochaine. Une détente tarifaire est observée sur les marchés du Sud. Il en est de même dans les abattoirs où les acheteurs se montrent plus demandeurs.

 

Sur le Grand Ouest, les vaches prim’holsteins P+3 de plus de 280 kg se négocient entre 2,48 et 2,55 €. Celles vendues dans le Sud voient leurs tarifs grimper à 2,60-2,65 €. Cet assouplissement du commerce est moins visible pour les normandes et les montbéliardes. Les vaches O= se vendent autour de 3,05 € et les R partent à 3,15 €. Les animaux maigres bénéficient d’une demande croissante pour la préparation de la mise à l’herbe.

 

Du côté des allaitantes, les prix des blondes d’Aquitaine lourdes plafonnent entre 4,50 et 5,00 €. Les limousines U se vendent entre 4,20 et 4,50 € tandis que les vaches charolaises se commercialisent entre 3,70 et 3,90 €.

 

Dans le cheptel d’entrée de gamme, la demande se raffermit : les vaches R se valorisent à 3,62 € sur le marché de Cholet.

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